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De quelles compétences nos étudiants ont-ils besoin pour travailler dans des domaines scientifiques au 21e siècle ? Dans cet atelier, nous vous invitons à venir réfléchir avec nous sur le profil de sortie que nous souhaitons pour nos étudiants, dans le cadre du nouveau programme de Sciences de la nature. Un rapport rédigé lors des premières phases de la révision du programme de sciences (ÉduConseil, 2014) suggérait que notre modèle actuel était assez efficace pour préparer les diplômés aux études universitaires, mais il soulignait …

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De quelles compétences nos étudiants ont-ils besoin pour travailler dans des domaines scientifiques au 21e siècle ? Dans cet atelier, nous vous invitons à venir réfléchir avec nous sur le profil de sortie que nous souhaitons pour nos étudiants, dans le cadre du nouveau programme de Sciences de la nature. Un rapport rédigé lors des premières phases de la révision du programme de sciences (ÉduConseil, 2014) suggérait que notre modèle actuel était assez efficace pour préparer les diplômés aux études universitaires, mais il soulignait certaines lacunes en matière de leur habileté à prendre en charge une démarche scientifique. Avec l’arrivée du nouveau programme, il est temps d’examiner attentivement ce que nous souhaitons que nos étudiants soient capables de faire lorsqu’ils entrent à l’université, en nous appuyant sur les bons coups pédagogiques que nous faisons déjà.

Reconnaissant que la science est intrinsèquement liée au laboratoire, nous chercherons également à savoir comment soutenir au mieux leur développement en tant que scientifiques. Quels types d’expériences authentiques, pratiques et concrètes pouvons-nous concevoir pour nos élèves afin de les engager au mieux dans le raisonnement et la déduction scientifiques ? Comment pouvons-nous les aider à penser davantage comme des scientifiques ? Et comment l’épreuve synthèse de programme peut-elle être conçue pour témoigner de l’atteinte de la compétence d’intégration?

La session se terminera par un panel sur la façon dont certains collèges ont réussi à mettre en œuvre une démarche cohérente pour le développement des habiletés de prise en charge de la démarche expérimentale dans le cadre du programme actuel, et sur les leçons que l’on peut tirer de leur processus de conception.


What skills do our students need for working in science-based fields in the 21st century? In this workshop, we invite you to revisit with us the elements of the exit profile; what do we want Science program students to be capable of doing after completing the newly-revised program? A report produced in the initial stages of the science program revision (ÉduConseil, 2014) suggested that our current model was quite effective in preparing graduates for university studies, yet pointed out some gaps in their ability to both implement scientific processes and to think critically. With the new program upon us, it is time to reassess what skills our graduates should leave the program with and improve upon the pedagogical foundation currently in place.

Recognizing that science is inherently tied to the laboratory, we will also explore how best we can support student development as scientists. What kinds of authentic, practical, and hands-on experiences can we design for our students to best engage them in scientific reasoning and deduction? How can we help them think more like a scientist? How can the comprehensive assessment be designed to ensure the student has developed these skills?

The session will be capped with a panel discussion focused on how some colleges have successfully implemented a coherent approach to developing experimental engagement skills within the current program, and what lessons can be learned from their design process.


Intended audience: CEGEP Science teachers, science program coordinators, university professors, Science program deans, students, lab coordinators

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Resources, readings and more

Développer la pensée scientifique : Atelier de discussion sur le programme de Sciences de la nature

Présenté par l’équipe de recherche sur le laboratoire dans le programme de Sciences de la nature – En collaboration avec SALTISE

Learning how to think like a scientist: Workshopping the new Science program Presented by the Science Program Lab Activity

Presented by the Science Program Lab Activity Research Team – In collaboration with SALTISE

L’enquête guidée en labo : apprendre à faire la science

Résumé : Le défi de faciliter le développement de l’autonomie des étudiants en laboratoire

Guided Inquiry in the Lab: Learning How to “Do” Science

Summary: The challenge of facilitating the development of student autonomy in the lab

Projects & Research

Panel scientifique pour discuter de l’épreuve synthèse de programme

 

Toutes les disciplines scientifiques sont incluses, y compris l’informatique. Il est seulement stipulé que le projet doit inclure des connaissances provenant de deux disciplines différentes. L’étendue de cette multidisciplinarité doit être une décision locale.

Toutes les disciplines scientifiques et même plusieurs autres. On peut y inclure la politique, l’économique, les communications, ou autres pour enrichir la vision d’ensemble d’un sujet.

À André-Laurendeau, les disciplines biologie et mathématique sont jumelées de facto dans le choix offert aux étudiants.

À Marie-Vic, les étudiants peuvent choisir un projet de math, mais co-supervisé par un prof de math et de physique.

À Lionel-Groulx, les 4 disciplines actuelles offrent la possibilité de faire une ESP.

Pour le moment, à Lévis, les étudiants ont le choix entre 5 cours d’intégration (un par discipline, incluant Géologie). Il n’y a aucune interdisciplinarité. Il y a des cours avec des heures théoriques avec de la nouvelle matière et des cours avec projets expérimentaux

À mon bon souvenir, à Limoilou, ils bloquent la même plage horaire pour les profs de bio-chimie-physique qui enseignent intégration pour faciliter l’interdisciplinarité (les étudiants peuvent se promener entre les labos et référencer à chacun de ces profs au besoin)

À Granby aussi, les 3 groupes sont en même temps, avec passage possible d’un labo à l’autre

Non, leur majeure devra être physique (si c’était leur 2e choix). Mais ils peuvent choisir un projet de type “bio-physique”. Ils pourraient avoir accès au labo et au prof de bio, mais avec pas à temps plein.

Au sujet du nombre maximal d’étudiants par groupe: à André-Laurendeau, le collège a fixé un maximum de 26 étudiants/groupe pour ce cours

Chez nous à Granby, cela varie entre 24 et 32, selon les années

À Gérald-Godin, nos groupes sont limités à 24 étudiants.

À Marie-Victorin, 32.

Ils ont certaines obligations de présence, à des dates fixées. En dehors de ces moments, ils peuvent travailler chez eux. Il arrive aussi qu’ils viennent au labo en dehors des heures attribuées au cours, après entente avec le prof ou le TTP

À Marie-Victorin, ils doivent se présenter au moins une fois par semaine pour rencontrer l’enseignant et discuter de l’échéancier, mais ils ont une certaine autonomie.

1 réunion de présentation globale du cours de 1h environ, 1 rencontre par discipline des équipes du groupe de 1h30-2h pour discuter des propositions de sujets et les approuver, plus du temps variable pour répondre à des questions de certaines équipes. Certaines équipes n’ont pas de projet défini et approuvé avant le début de la session d’hiver

Des rencontres hebdomadaires avec chacune des équipes, des formations pendant la session sur la recherche documentaire, le travail d’équipe et sur la communication orale.

Coordinators

Caroline Cormier

Caroline Cormier

Cégep André-Laurendeau, LaSalle

Véronique Turcotte

Véronique Turcotte

Cégep André-Laurendeau, LaSalle

Sean Hughes

Sean Hughes

John Abbott College, Montreal

Karl Laroche

Karl Laroche

Vanier College, Montreal